Bonjour, voilà une question qui va être à peu près impossible à répondre. A deux titres.
D’abord parce qu’il n’y a pas vraiment d’activité type à l’ile de Pâque, si ce n’est en faire le tour. Et pour cela ça peut se faire à vélo (en une grosse journée), en scooter, en voiture de location ou en tour organisé, le budget dépendant évidemment du style choisi.
Ensuite parce que, pour les autres activités – plongée par exemple – (et même pour, dans notre cas, la location de la voiture), je serai bien incapable de me souvenirs des prix, cela remonte à il y a bientôt 3 ans et je n’ai pas la mémoire des chiffres.
Désolée de ne pas pouvoir vous aider davantage. Bons préparatifs et beau voyage.

Quel est le budget approximatif pour toutes les activités sur l’ile?

Merci

Cordialement

Bonjour Nadou, un tout grand merci pour ton message, il m’a fait très plaisir ! C’est toujours agréable de partager des coups de coeur avec d’autres voyageurs ! 🙂

Je te souhaite de tout coeur de réaliser ta promesse et de retourner là-bas (comme nous rêvons de le faire nous aussi !).

Merci à toi !

Merci Jessica ! ?
Epuisant, ça c’est sûr ! Mais maintenant je vais déjà beaucoup mieux et recommence à voyager (même si je reste très vite « fatiguable »)… Une petite dose de patience, d’écoute de son corps et de sa tête… et je retrouverai un bon équilibre ! ^^

Merci pour l’info Amandine! Bon courage avec la mononucléose, je l’ai eu l’année de mon bac, c’était… Épuisant lol! Fait le plein de vitamines!

Bonjour Jessica, merci pour ton commentaire et le compliment 🙂 (et désolée du délai de réponse, la mononucléose dont j’ai du mal à sortir m’a fait prendre beaucoup de retard dans le traitement de mes mails et commentaires !)

Oui, tu arriveras toujours à te faire comprendre je pense (je n’ai pas fait l’expérience moi-même, vu que je parle espagnol, mais je pense que ça ne posera pas trop de problèmes) ^^

Bon voyage à toi ! (cette ile du bout du monde me manque tellement !!!)

Et je suis entièrement d’accord sur le fait qu il faut élargir la question, et ne pas se cantonner à la question du thon local et du saumon importé.
Mais de nombreuses actions simples de chacun permettraient déjà largement de réduire l’impact « négatif » de la forte présence touristique. (Ex: réduire chacun sa consommation de viande/poissons, boire l’eau du robinet plutôt que de l’eau en bouteille pour générer moins de déchets, etc).
Points positifs sur lesquels j’ai été agréablement surprise sur l’île:
– recyclage des déchets plutôt bien géré (même si là encore, ce n’est qu’une réponse à un problème qui pourrait être évité en réduisant les déchets que nous produisons, et dont la quantité est largement augmentée dûe à la forte présence de touristes)
– voitures propres

Enfin, je ne voudrais pas que mon discours soit interprété comme « donneur de leçons » car dans la mesure où je suis aussi allée sur cette ile (comme tout le monde, en avion), je ne suis pas exempte de tout reproche.

Amicalement

Bonjour Marie,

A première vue, cela peut sembler cohérent comme proposition. Après je pense que le débat doit pouvoir aller au-delà de cette simple question.
Par exemple, si je ne mange pas le thon local, je mange quoi à la place ? Le saumon importé ? Quid alors de la surpêche de là où vient le saumon importé, ou cette surpêche deviendra d’autant plus critique ?

La réalité de cette ile est qu’il est difficile d’accueillir autant de touriste, par manque de champs, de bétail, de poisson… Importer vers cette ile, tellement isolée du monde, est-elle une solution ? Interdire/limiter le nombre de touristes ? Malheureusement l’ile vit à 80% du tourisme, alors que faire ? Le débat est très complexe, et ne se limite pas à juste : et si on en mangeait pas de thon sur place pour limiter la surpêche, en tout cas à mon avis.

Le débat me rappelle celui de l’article Authenticité et civilisations préservées : le tourisme du Paradis Perdu